En Haïti, pays en développement le plus pauvre de la région des Caraïbes et parmi les plus pauvres du monde, on estime qu’environ 72% de la population n’a pas accès à des systèmes d’assainissement adéquats. La défécation à l’air libre serait pratiquée par 35% des personnes vivant dans les zones rurales, 8% dans les zones urbaines.
A Grande-Plaine, petite communauté rurale de 2 000 habitants de la commune de Gros-Morne, il n’y a pas de belles latrines à fosse en béton et étanches, seulement de simples fosses avec un accès parfois dangereux. Dans la plupart des cas, la défécation en plein air est pratiquée, avec toutes les conséquences sanitaires et sociales qu’elle implique. Face à cela, l’AOG a voulu trouver une solution qui permettrait de résoudre ce problème de façon peu coûteuse et durable. Il a ainsi été décidé de tester la mise en place d’un système de gestion des excreta humains par des toilettes sèches à litière bio-maîtrisée.
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